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Yannick Moritz nous parle de son parcours après avoir fini HES Genève. De son passage à Cadschool à Givaudan en passant par une agence de communication, il nous parle des enjeux du numérique.
Bonjour, je m’appelle Yannick Moritz et je suis Social Media Manager chez Givaudan.
Après avoir terminé mon Bachelor à la Haute Ecole de Gestion de Genève, j’ai voulu me perfectionner dans tout ce qui était réseaux sociaux et digital. J’ai hésité à faire un master ou à faire une formation axée sur le marketing digital et la communication digitale. En parallèle, j’ai pu aussi suivre des cours comme After Effects, Premiere Pro, Photoshop et Illustrator. Et ça, pour moi, c’est un énorme plus parce que j’ai pu mixer mes connaissances dans la stratégie, mais aussi tout ce qui était, tout ce qui était design.
De faire des formations, C’est bien ! De l’appliquer pour des projets concrets, c‘est ce qui nous pousse à aller plus profond dans les outils. Et justement, de voir vraiment la suite logique de réaliser des formations comme ça.
Après, il y a il y a deux côtés de la plus-value. La première, c’est la plus value en tant qu’employeur qui, elle, va voir une personne en stratégie mais aussi en design. Donc ça veut dire qu’il a une partie autonome. Par exemple dans mon travail où je n’aurais pas besoin de demander à un graphiste ou un designer de retoucher une photo, de refaire le format ou même de faire un montage vidéo. Pour la suite, c’est aussi des connaissances professionnelles personnelles. Vous mieux avoir plusieurs cordes à son arc qu’une seule. Et du coup, ça fait partie de la curiosité d’aller plus loin, plus profondément, dans les outils.
Avoir une formation d’un an en tant que stagiaire. Pour moi, c’était incroyable car j’ai pu mettre en place beaucoup de choses ici qui m’ont permis d’apporter des compétences à mon cv en tant que formation aussi, parce que oui, une personne qui a fait plusieurs formations chez Cadschool lui apporte vraiment un sacré bagage pour la suite. Encore aujourd’hui, cinq ans après le début de mon stage, j’utilise encore beaucoup d’outils et beaucoup de choses que j’ai faites ici.
J’ai choisi de travailler dans ce domaine-là car quand j’étais à la Haute Ecole de Gestion de Genève, j’ai commencé à suivre des cours dans le marketing et après j’ai eu l’occasion de faire un premier stage avec une personne que je connaissais dans les réseaux sociaux. Et j’ai été vraiment impressionné par la capacité de ces réseaux sociaux de pouvoir atteindre des personnes dans le monde entier, mais aussi à une échelle locale et aussi, c’est sûr que dans le domaine du marketing, la communication digitale, c’est en pleine effervescence. C’était sûr que par rapport à la suite de mon parcours professionnel, j’allais pouvoir trouver du travail dedans.
J’aime bien voir ça comme un entonnoir où au début, on va essayer plusieurs choses. C’est que vous êtes très important aussi dans le digital. C’est en fait, on a le droit d’essayer. On est en droit de se tromper car ça va tellement vite. On publie beaucoup de choses sur les réseaux sociaux, qu’une publication en story Instagram ça va durer 24h, si ça dure et puis on voit un peu qu’il n’y a pas beaucoup de retours. C’est pas grave. Une publication aussi sur Instagram. Elle va vite se perdre dans le fil d’actualités. C’est pour ça qu’il faut être punchy assez rapidement. Mais si on teste des choses et que ça ne marche pas, on passe à la trappe et on optimise quelque chose d’autre. Et ça, ça fait donc des périodes vraiment de phases dans l’entonnoir ou au final, à la fin, on va avoir du contenu de qualité pour une audience de qualité. Et ça, c’est le plus important dans notre métier !
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’actuellement, par mois, le nombre d’utilisateurs qui utilisent Facebook, c’est encore le numéro un. Donc il faut rester aussi dans ces domaines-là. Donc il y aura toujours ces mains, ces principales réseaux sociaux qui seront là, mais d’autres vont s’intégrer après. Au niveau des technologies, je pense que l’intelligence artificielle va encore plus se développer. Après, faut voir si on fait confiance ou pas à ces nouveaux outils. Et je pense aussi à l’automatisation. On va dire, par exemple, du reporting. De plus en plus, avant, on le faisait vraiment d’une façon archaïque on le faisait nous-mêmes, on allait nous-mêmes chercher les informations. Maintenant, il faut savoir qu’il y a de plus en plus d’automatisation sur le digital et je pense cela va un peu simplifier le travail de tout le monde, notamment de perdre moins de temps et que ce soit moins chronophage notre travail. Toujours être curieux ! Ça, c’est ça, c’est la clé de notre métier. Je dirais ça va très vite dans le digital. Donc c’est important d’être curieux, de toujours s’intéresser à ce qui va se passer, une rigueur aussi. Car la rigueur dans le travail, c’est très important. Toujours avoir envie de garder cette envie-là et puis voilà surtout que rien n’est figé. On peut faire quelque chose dans le digital par exemple, évoluer dans quelque chose d’autre, mais d’avoir toujours envie et puis d’avoir la curiosité. Je dirais que c’est la chose la plus importante à avoir dans ce métier.
J’ai fait une interview il y a quelques années ici avec Samuel, qui, en plus est encore formateur ici. C’était drôle de voir l’évolution aussi par rapport à tout ça. Mais oui, je remercie Cadschool énormément pour tout ce que ça m’a apporté. Car si je suis aussi ici, c’est un peu en partie aussi grâce à Cadschool. Donc voilà, je recommande vivement de suivre des formations ici car ça vous permettra aux personnes de développer des compétences dans des domaines que vous n’aviez pas forcément idée d’avoir.
Donc signez chez Cadschool !
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